ouvrez des écoles vous fermerez des prisons

p>Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons ce beau cri du cœur est devenu le plus triste des chantages : Par la magie du nombre, la magie du budget, vous luttez contre la délinquance et les inégalités, vous luttez contre la misère et les injustices. Qui n’en convient pas est un complice des exploiteurs. Mais s’y lit également une curieuse pétition de principe libertaire : Il Fermeturedes écoles à partir de la semaine prochaine, toute la France métropolitaine en semi-confinement ou encore nouvelles places en réanimation dans les hôpitaux : le président Emmanuel 120écoles et collèges ouverts pour les enfants des personnels prioritaires dans l'académie de Nice. Dans l’urgence, jeudi, l’un des grands chantiers du DissertationSujet : '' Ouvrez des écoles et vous fermerez des prisons. '' Plan de la dissertation : Introduction: Je remets l'affirmation de Victor Hugo dans son contexte, puis je la confronte avec notre époque actuelle. Je me pose ensuite différentes questions sur la problématique. Et enfin, j'annonce le plan. La problématique : Pourquoi Desjeunes Afghanes quittent leur école après la décision prise par les talibans de fermer les écoles secondaires pour les filles, le 23 mars 2022 à Kaboul . not angka dan not balok lagu pelangi pelangi. Accueil Thèmes Amitie Amour Humour Liberte Motivation Vie Proverbes Auteurs Citation du jour Créer une citation Accueil Thèmes Amitie Amour Humour Liberte Motivation Vie Proverbes Auteurs Citation du jour Créer une citation Copyright © 2022 . Tous droits réservés. CGU Pixels Cybercriminalité Des hackeurs ont diffusé des images de vidéosurveillance de la start-up Verkada sur Twitter. L’attaque risque d’abîmer durablement l’image de Verkada. Des dizaines de milliers de caméras de vidéosurveillance de la start-up, installées dans les usines de Tesla, des hôpitaux, des prisons, des écoles et d’autres organisations, ont été piratées par des hackeurs, qui ont diffusé les images ainsi dérobées sur Twitter, a révélé Bloomberg mardi 9 mars. Selon le média, qui a pu vérifier l’authenticité de certaines vidéos et images fournies par le groupe de pirates, ces derniers ont simplement trouvé un identifiant et un mot de passe pour un compte administrateur de Verkada exposés sur Internet, et pu se connecter au système avec un compte Super Admin », c’est à dire avec des droits d’accès très larges au sein du réseau. Ce piratage montre l’étendue de la surveillance à laquelle nous sommes soumis, et le peu d’intérêt consacré à sécuriser les plate-formes utilisées pour cette surveillance », a argué auprès de Bloomberg Tillie Kottmann, membre d’un groupe de hackeurs qui a revendiqué cette opération contre Verkada. Le compte de Tillie Kottmann a été suspendu par Twitter, qui a estimé que les règles d’utilisation du réseau social avaient été enfreintes Twitter interdit la diffusion de contenus piratés. Avant la suspension de son compte Twitter, Tillie Kottmann a partagé plusieurs captures d’écran pour prouver que le réseau de Verkada avait été infiltré. Des photos montrant l’intérieur d’entrepots Tesla, mais aussi de plusieurs autres entreprises, ont également été publiées. Cette liste, contenant 24 000 entrées, a été consulté par le site Vice, qui en a confirmé l’authenticité. L’entreprise ferme les accès Le piratage semble aller plus loin, puisque Tillie Kottmann a affirmé à Bloomberg que le groupe avait également pu télécharger l’intégralité de la liste des clients de Verkada, ainsi que des données financières relatives à ces entreprises. Start-up connue de la vidéosurveillance, Verkada compte parmi ses clients l’importante entreprise Cloudflare – qui fournit des services à de nombreux géants du Net –, mais aussi des prisons, des écoles et des résidences privées, selon le document piraté. Verkada a pris des mesures dans la soirée après la découverte de l’infiltration. Nous avons désactivé tous les comptes d’administrateurs internes pour empêcher tout accès non autorisé », a fait savoir un porte-parole de l’entreprise en réponse à une sollicitation de l’Agence France-Presse. Notre équipe de sécurité interne et notre partenaire externe sont en train d’enquêter sur la taille et l’étendue de ce problème, et nous avons alerté les forces de l’ordre », a-t-il ajouté, en précisant que les clients de la société avaient été prévenus et qu’une chaîne de communication spécifique était en place pour répondre à leurs questions. La société se présente comme une alternative “plus sûre et plus facile à mettre à échelle” que les réseaux internes d’enregistrement vidéo », a réagi Rick Holland, responsable de la sécurité pour Digital Shadows, une entreprise de cybersécurité. Mais cette intrusion est un exemple des risques associés à la délocalisation de ce type de services à des fournisseurs de cloud ». Il rappelle que le piratage aura sans doute permis de dérober des données personnelles, et que des poursuites en justice pourraient suivre. Lire aussi Des images de vidéosurveillance à la frontière américaine piratées Le Monde avec AFP Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? 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C’est dans cette dernière catégorie que je range les réductions proposées par le comité des finances sur ce que j’appellerai le budget des lettres, des sciences et des arts. Que penseriez-vous, messieurs, d’un particulier qui aurait 1500 francs de revenus, qui consacrerait tous les ans à sa culture intellectuelle, pour les sciences, les lettres et les arts, une somme bien modeste 5 francs, et qui, dans un jour de réforme, voudrait économiser sur son intelligence six sous ? Voilà, messieurs, la mesure exacte de l’économie proposée. Eh bien ! ce que vous ne conseillez pas à un particulier, au dernier des habitants d’un pays civilisé, on ose le conseiller à la France. Je viens de vous montrer à quel point l’économie serait petite ; je vais vous montrer maintenant combien le ravage serait grand. Ce système d’économie ébranle d’un seul coup tout net cet ensemble d’institutions civilisatrices qui est, pour ainsi dire, la base du développement de la pensée française. Et quel moment choisit-on pour mettre en question toutes les institutions à la fois ? Le moment où elles sont plus nécessaires que jamais, le moment où, loin de les restreindre, il faudrait les étendre et les élargir. Eh ! Quel est, en effet, j’en appelle à vos consciences, j’en appelle à vos sentiments à tous, Quel est le grand péril de la situation actuelle ? L’ignorance. L’ignorance encore plus que la misère. L’ignorance qui nous déborde, qui nous assiège, qui nous investit de toutes parts. C’est à la faveur de l’ignorance que certaines doctrines fatales passent de l’esprit impitoyable des théoriciens dans le cerveau des multitudes. Et c’est dans un pareil moment, devant un pareil danger, qu’on songerait à attaquer, à mutiler, à ébranler toutes ces institutions qui ont pour but spécial de poursuivre, de combattre, de détruire l’ignorance. On pourvoit à l’éclairage des villes, on allume tous les soirs, et on fait très bien, des réverbères dans les carrefours, dans les places publiques ; quand donc comprendra-t-on que la nuit peut se faire dans le monde moral et qu’il faut allumer des flambeaux dans les esprits ? Oui, messieurs, j’y insiste. Un mal moral, un mal profond nous travaille et nous tourmente. Ce mal moral, cela est étrange à dire, n’est autre chose que l’excès des tendances matérielles. Eh bien, comment combattre le développement des tendances matérielles ? Par le développement des tendances intellectuelles ; il faut ôter au corps et donner à l’âme. Quand je dis il faut ôter au corps et donner à l’âme, ne vous méprenez pas sur mon sentiment. Vous me comprenez tous ; je souhaite passionnément, comme chacun de vous, l’amélioration du sort matériel des classes souffrantes ; c’est là selon moi, le grand, l’excellent progrès auquel nous devons tous tendre de tous nos veux comme hommes et de tous nos efforts comme législateurs. Eh bien, la grande erreur de notre temps, ça a été de pencher, je dis plus, de courber l’esprit des hommes vers la recherche du bien matériel. Il importe, messieurs, de remédier au mal ; il faut redresser pour ainsi dire l’esprit de 1’homme ; il faut, et c’est la grande mission [ … ] relever l’esprit de l’homme, le tourner vers la conscience, vers le beau, le juste et le vrai, le désintéressé et le grand. C’est là, et seulement là, que vous trouverez la paix de l’homme avec lui-même et par conséquent la paix de l’homme avec la société. Pour arriver à ce but, messieurs, que faudrait-il faire ? Il faudrait multiplier les écoles, les chaires, les bibliothèques, les musées, les théâtres, les librairies. Il faudrait multiplier les maisons d’études où l’on médite, où l’on s’instruit, où l’on se recueille, où l’on apprend quelque chose, où l’on devient meilleur ; en un mot, il faudrait faire pénétrer de toutes parts la lumière dans l’esprit du peuple ; car c’est par les ténèbres qu’on le perd. Ce résultat, vous l’aurez quand vous voudrez. Quand vous le voudrez, vous aurez en France un magnifique mouvement intellectuel ; ce mouvement, vous l’avez déjà ; il ne s’agit pas de l’utiliser et de le diriger ; il ne s’agit que de bien cultiver le sol. époque où vous êtes est une époque riche et féconde ; ce ne sont pas les intelligences qui manquent, ce ne sont pas les talents ni les grandes aptitudes ; ce qui manque, c’est l’impulsion sympathique, c’est l’encouragement enthousiaste d’un grand gouvernement. Je voterai contre toutes les réductions que je viens de vous signaler et qui amoindriraient l’éclat utile des lettres, des arts et des sciences. Je ne dirai plus qu’un mot aux honorables auteurs du rapport. Vous êtes tombés dans une méprise regrettable ; vous avez cru faire une économie d’argent, c’est une économie de gloire que vous faites. Je la repousse pour la dignité de la France, je la repousse pour 1’honneur de la République. » Petit supplément Louise Michel et Victor Hugo Viro Major l'hommage de Victor Hugo à Louise Michel Viro Major Ayant vu le massacre immense, le combat Le peuple sur sa croix, Paris sur son grabat, La pitié formidable était dans tes paroles. Tu faisais ce que font les grandes âmes folles Et, lasse de lutter, de rêver de souffrir, Tu disais " j'ai tué ! " car tu voulais mourir. Tu mentais contre toi, terrible et surhumaine. Judith la sombre juive, Aria la romaine Eussent battu des mains pendant que tu parlais. Tu disais aux greniers " J'ai brûlé les palais !" Tu glorifiait ceux qu'on écrase et qu'on foule. Tu criais " J'ai tué ! Qu'on me tue ! - Et la foule Ecoutait cette femme altière s'accuser. Tu semblais envoyer au sépulcre un baiser ; Ton oeil fixe pesait sur les juges livides ; Et tu songeais pareille aux graves Euménides. La pâle mort était debout derrière toi. Toute la vaste salle était pleine d'effroi. Car le peuple saignant hait la guerre civile. Dehors on entendait la rumeur de la ville. Cette femme écoutait la vie aux bruits confus D'en haut, dans l'attitude austère du refus. Elle n'avait pas l'air de comprendre autre chose Qu'un pilori dressé pour une apothéose ; Et, trouvant l'affront noble et le supplice beau Sinistre, elle hatait le pas vers le tombeau Les juges murmuraient " Qu'elle meure ! C'est juste Elle est infâme - A moins qu'elle ne soit Auguste " Disait leur conscience. Et les jugent, pensifs Devant oui, devant non, comme entre deux récifs Hésitaient, regardant la sévère coupable. Et ceux qui, comme moi, te savent incapable De tout ce qui n'est pas héroisme et vertu, Qui savent que si l'on te disait " D'ou viens tu ? " Tu répondrais " Je viens de la nuit ou l'on souffre ; Oui, je sors du devoir dont vous faites un gouffre ! Ceux qui savent tes vers mystérieux et doux, Tes jours, tes nuits, tes soins, tes pleurs donnés à tous, Ton oubli de toi-même à secourir les autres, Ta parole semblable aux flammes des apôtres ; Ceux qui savent le toit sans feu, sans air, sans pain Le lit de sangle avec la table de sapin Ta bonté, ta fierté de femme populaire. L'âpre attendrissement qui dors sous ta colère Ton long regard de haine à tous les inhumains Et les pieds des enfants réchauffés dans tes mains ; Ceux-la, femme, devant ta majesté farouche Méditaient, et malgré l'amer pli de ta bouche Malgré le maudisseur qui, s'acharnant sur toi Te jetai tout les cris indignés de la loi Malgré ta voix fatale et haute qui t'accuse Voyaient resplendir l'ange à travers la méduse. Tu fus haute, et semblas étrange en ces débats ; Car, chétifs comme tous les vivants d'ici-bas, Rien ne les trouble plus que deux âmes mêlées Que le divin chaos des choses étoilées Aperçu tout au fond d'un grand coeur inclément Et qu'un rayonnement vu dans un flamboiement. Victor Hugo Décembre 1871 Lettres de 1850 à 1879 de Louise Michel, la "dévote de la Révolution", à Hugo, le "Maître" Monsieur, Je ne sais ce que je vous dirai mais je suis au désespoir et il faut que je vous écrive pour souffrir moins. Je ne m’inquiète pas si ma lettre doit vous paraître étrange car vous ne me connaissez pas et tout ce qui me tourmente ne peut vous toucher, mais il faut que je vous le dise pour me calmer un instant. Mme Dehamis, ma grand-mère que je ne n’ai jamais quittée, est dangereusement malade et je me trouve sans force et sans courage contre cette affreuse inquiétude. Je suis comme folle, je ne sais ce que je fais ni ce que je dis. L’idée de la perdre est horrible pour moi et je n’en ai pas d’autre. Je vois bien qu’il n’y a plus d’espoir et que tout ce qu’on me dit de rassurant n’est que pour me consoler et cependant, malgré son âge, je ne puis m’imaginer qu’il me soit possible de vivre sans elle. J’oublie presque qu’il me resterait ma mère à consoler. Depuis que je suis au monde, je n’ai jamais quitté mon aïeule. Elle a été ma seule institutrice. Nous ne vivions que l’une pour l’autre et maintenant tout cela va finir. Je ne sais ce que je vous dis. Mes idées se brouillent mais vous me pardonnerez et vous m’écrirez quelques lignes pour me donner un peu de courage car je n’en ai plus. On dit que je suis pieuse, eh bien, si je la perdais, il me semble que je ne croirais plus rien. Dieu serait trop cruel. Je trouve sous ma main je ne sais quels brouillons ; je vous les envoie. Ce sont peut-être les derniers que vous recevrez de moi. Si je la perdais, je ne ferais plus rien ou bien cela me ferait mourir. Alors, frère, vous feriez quelques vers sur ma tombe. Adieu, pardon de cette lettre, je suis folle de douleur, je ne sais que devenir, tout me semble mort, écrivez-moi. Automne 1850 Merci, Ô merci mille fois. C’est du bonheur, au milieu de toutes mes peines, de me réfugier en vous comme dans un autre monde. Je ne vous écrirai pas souvent mais de bien longues lettres où je vous enverrai toute mon âme. Si j’ai cru que vous ne me répondiez pas, c’était sans vous accuser. Hugo, je croyais à la fatalité. Je désespérais même de Dieu et il semblait qu’il devait me maudire parce qu’en doutant de lui j’avais foi en vous. Merci encore. N’importe ce qui m’arrive si je vous le confie, je souffrirai moins. Qu’importe la distance entre nous, mon âme est un rayon de la vôtre et je laisse courir ma pensée sans m’inquiéter. Pardon de ne pas vous écrire avec plus de respect mais avec vous ces mots glacés me font mal, et puis, moi qui ne vous verrai jamais, pourquoi me serait-il défendu de vous le dire, Hugo ? Vous comprendriez qu’un prisonnier aimât le seul rayon de soleil qui brillerait dans sa solitude. Laissez-moi vous dire tout ce que je pense, comme si vous étiez là, devant le foyer et dans le fauteuil vide de ma grand-mère, vos mains dans les miennes, ainsi que nous restions de longues heures le soir, elle et moi. Avez-vous éprouvé parfois de ces instants où l’âme brise le corps ? C’est ainsi que je mourrai, et alors je serai bien heureuse, je la reverrai. Et si Dieu me donne des ailes, je veillerai sur vous. Dites-moi si vous avez éprouvé de ces pensées qui dévorent et qu’on ne comprend pas ? Ce doit être la langue du ciel ou celle de l’enfer. On ne le sait que dans le tombeau. Tout me semble comme un rêve ; mais c’est peut-être le rêve qui est la vie. J’en suis venue à douter de tout, même de la réalité de l’existence. J’écrirai quelques pages de ma vie, mais pour vous seul. Tout ce que je vous dirai ne sera qu’entre dieu et nous. Et vous comprendrez pourquoi j’ai cru à la fatalité, et pourquoi, quand un nom magique a brillé dans ma nuit, j’ai crié vers lui. Mais ce n’est pas aujourd’hui que je vous dirai tout cela, il m’est impossible de suivre une idée, et ces pensées que je ne puis démêler me déchirent. Il me semble que mon front se brise pour les laisser s’envoler et je ne trouve pas une parole pour vous écrire. Hugo, ne m’oubliez jamais, dites-moi que vous pensez à moi. Lors même que cela ne serait pas, dites-le moi. ... Ô non, la lettre que je vous ai écrite ne sera pas la dernière, comme je vous le disais dans un de ces instants de découragement où je doute de tout, excepté de vous. Aujourd’hui, je me sens de la force et du courage et je crois à ma destinée. Que ce soit orgueil ou pressentiment, qu’importe, je vous le dirai, car je ne voudrais pas qu’une seule de mes pensées fût un secret pour vous. N’êtes-vous pas un frère pour moi, Hugo, et plus qu’un frère, car nous n’avons qu’une âme. Je voudrais vous remercier encore de m’avoir dit de vous écrire souvent, à vous qui avez tant d’autres préoccupations que mes lettres. J’ai mille choses à vous dire et je ne trouve qu’un seul mot pour tout cela, j’ai bien le droit de vous le redire, moi qui me suis donnée à Dieu pour toujours, c’est comme si un habitant de l’autre monde venait de la tombe ou du ciel vous répéter, frère, que je vous aime, parce que vous êtes généreux et grand au milieu de tant de caractères hideux. Ah, vous ne savez pas combien vous êtes grand, même aux yeux de la calomnie. J’ai le droit aussi de vous le dire, moi qui vous ferais de même des reproches si j’avais des doutes. À bientôt, car, si je ne vous écrivais pas, je ne pourrais supporter la vie. Uploaded byCameron Heal 67% found this document useful 6 votes13K views2 pagesCopyright© Attribution Non-Commercial BY-NCAvailable FormatsDOC, PDF, TXT or read online from ScribdShare this documentDid you find this document useful?Is this content inappropriate?Report this Document67% found this document useful 6 votes13K views2 pagesFrancais - Dissertation Ouvrir EcoleUploaded byCameron Heal Full description 🟦 ANNONCE 🟦 Le président français Emmanuel Macron a fait hier soir un discours à la nation, au plus fort d’une troisième vague du virus Corona qui a frappé le pays. Dans l’ombre des lourdes charges de travail dans les hôpitaux et d’une augmentation du nombre de personnes dans un état critique, Macron a annoncé une série de nouvelles restrictions – y compris la fermeture d’écoles pendant au moins trois semaines. C’est la meilleure façon de ralentir la propagation du virus », a déclaré Macron. La fermeture partielle, imposée en mars à Paris et dans d’autres régions, s’appliquera à partir de samedi dans tout le pays pendant un mois. Dans le cadre des restrictions imposées au milieu du mois, des entreprises non essentielles ont été fermées et les résidents ont été invités à travailler à domicile. Le trafic vers les zones à forte morbidité était limité et ceux qui se trouvaient dans les zones de quarantaine ne pouvaient pas se rendre dans une autre zone sans permis. Cependant, les écoles n’ont pas fermé jusqu’à présent. Les écoles et garderies en France fermeront après Pessah, qui commence ce week-end. La France a fermé les écoles pendant deux mois lors de la première fermeture du Corona. Lors de la deuxième fermeture – en novembre – les établissements d’enseignement sont restés ouverts, avec des restrictions sur le nombre d’élèves dans les salles de classe. Macron a annoncé dans son discours que les nouvelles restrictions seraient en vigueur pendant au moins un mois et a averti Si nous n’agissons pas maintenant – nous perdrons le contrôle de la situation. » Au sujet des restrictions qui s’appliqueront aux Français, il a déclaré Nous avons fait tout notre possible pour retarder ces décisions, et ne les prendre que lorsque c’est nécessaire – et c’est maintenant. » Depuis le début de l’épidémie, 4,6 millions de personnes ont été diagnostiquées en France, et 95 495 sont décédées du virus. Macron a averti que dans les prochains jours, le nombre de victimes en France pourrait atteindre plus de 100 000. Comme d’autres pays européens, la France se bat contre la variante britannique – une souche hautement contagieuse du virus. La France fait actuellement face à un nombre record de plus de 5 000 patients corona hospitalisés dans un état critique dans des unités de soins intensifs. Le nombre quotidien moyen d’infections a doublé depuis février, atteignant près de 40 000. Ce soir, la France a signalé 59 038 nouvelles infections. Les médecins de la région parisienne ont appelé cette semaine le gouvernement français à resserrer les restrictions, alors que les hôpitaux sont au bord de l’effondrement. Lorsque le service n’a qu’un seul lit disponible, mais deux patients qui peuvent en bénéficier, il faut décider lequel d’entre eux sera hospitalisé et survivra probablement et lequel ne sera pas hospitalisé et mourra probablement. C’est là que nous allons », ont écrit les médecins dans une lettre publiée dans les médias. Une fermeture à minuit a été imposée en France à la mi-décembre – et elle restera désormais en vigueur. De nouvelles restrictions aux déplacements à travers la France seront également imposées. Ces derniers mois, la France a tenté d’éviter des restrictions plus strictes, afin de ne pas paralyser l’économie. La fermeture des écoles annoncée par Macron a été considérée comme un dernier recours». Macron a défendu cette semaine la décision de ne pas imposer une troisième fermeture générale et de laisser les écoles ouvertes, mais a en même temps déclaré que compte tenu du nombre élevé de personnes infectées, il semble que de nouvelles restrictions seront nécessaires. L’agence de presse française AFP a noté que les nouvelles restrictions sont sévères, mais moins sévères que la fermeture nationale imposée par la France lors de la première vague en mars et avril 2020 dans cette fermeture, les Français n’ont été autorisés à quitter la maison que pour achats nécessaires, ou faire de l’exercice une fois par jour. Macron, qui a déclaré il y a une semaine qu’il n’avait aucune raison de s’excuser dans le traitement de la pandémie avait un discours différent hier soir À chaque étape de ce fléau, nous pouvions nous dire que nous aurions pu mieux faire les choses, nous avons commis des erreurs. Savoir une chose nous sommes restés fermes, avons tiré des leçons et nous nous sommes améliorés à chaque étape ». Macron a déclaré aux Français que des cafés et certains événements culturels pourraient ouvrir – sous de strictes restrictions » – à la mi-mai. Il a mis les espoirs sur la campagne de vaccination, qu’il tente d’augmenter au maximum, en déclarant Grâce aux vaccins, la fin de la crise est en vue». Il a promis que les personnes âgées de 60 ans et plus pourraient être vaccinées à partir du 16 avril et que celles âgées de 50 ans et plus seraient autorisées à se faire vacciner à partir du 15 mai. La campagne de vaccination conjointe des pays de l’UE n’atteint toujours pas les objectifs. La France et d’autres pays de l’UE sont à la traîne par rapport à Israël, aux États-Unis et à la Grande-Bretagne. La France n’a jusqu’à présent vacciné que 11,75 pour cent de la population. Nouvelles brèves en temps réel ! Rejoignez nous sur Telegram en cliquant sur ce lien Telegram Je rappelle à tous les lecteurs qu’il y a trois sites liés à la société d'informations de défense d'Israel de la société reconnue Alyaexpress-News 1 Le site Infos Israel News avec le lien Telegram à partager Lien Telegram à partager Lien du site Infos Israel à partager 2 Le site RAK BE ISRAEL pour les infos liées à toutes les bonnes nouvelles en Israel, pas forcément que la guerre et les attentats, mais aussi les nouvelles decouvertes technologiques, medicales, écologiques, ...et les bons conseils pour nos olim de France ! Lien du site Rak Be Israel à partager 3 Le site CQVC est plus dans la recherche, les analyses, et les preuves que l'Autorité palestinienne n'a jamais vraiment existé...de quoi vous defendre sur les groupes anti-sionistes, à mort les fakes news ! 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